La culpabilité et l'Hoponopono


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Comment se pratique le Hoponopono devant un sentiment de culpabilité?

D’abord posons-nous les questions suivantes :

1-Quelles sont les causes de la culpabilité ?

et

2-Sommes-nous rongés par la culpabilité ?

Une personne coupable ressasse le passé, endosse facilement les erreurs commises, a le sentiment de ne jamais en faire assez, s’accuse pour tout et pour rien.

La culpabilité est souvent un sentiment qui nous habite depuis votre tendre enfance.

Toutes ces petites phrases anodines ont eu un impact sur notre confiance, du genre ;
·      Ne pleure pas,
·      Sois fort,
·      Pense à faire plaisir,  
·      etc

Lorsque vous ressentez un sentiment de culpabilité, il suffit de prononcer les quatre mots suivants :

Pardon, désolé, je t’aime merci

Le Hoponopono se résume-t-il vraiment à 4 mots ?

Oui, le Hoponopono est aussi simple que 4 petits mots!

1– Le mot “désolé” est une façon de reconnaître que c’est MOI qui suis le responsable de mon sentiment (et non pas l’autre !!!).
-« je suis désolé de porter ce mauvais sentiment en moi ».

2 – Le mot “pardon” permet de se pardonner à soi d’avoir des pensées et des sentiments de culpabilité.

3 – Le mot “merci” permet de remercier la vie de m’avoir montré que j’ai un problème avec ce sentiment de culpabilité.
-Merci aussi de me donner un moyen de corriger ce problème.

4 – Enfin, le “je t’aime” que j’adresse à moi-même est un cri d’amour et un moyen de se nettoyer du sentiment de culpabilité.

La particularité de la méthode Hoponopono est qu’il se pratique seul, en récitant soi-même la formule magique des 4 mots.

Vous vous parlez à vous-même en récitant ces 4 mots jusqu’à ce que vos sentiments négatifs se dissipent complètement et laissent place à la paix.

Le Hoponopono ne sert pas à changer l’autre (celui qui est peut être responsable de votre sentiment de culpabilité) mais à vous changer VOUS !

La méthode se base sur le principe que vous êtes le seul responsable de votre vie !

Vous êtes le créateur de ce qui vous arrive.

Grâce au Hoponopono, vous trouvez vous-même les solutions à ce qui vous arrive à l’intérieur de vous (et non plus à l’extérieur) et vous surmontez plus facilement toutes vos difficultés.

Notez aussi que vous n’avez aucunement besoin d’essayer de comprendre d’où vient votre culpabilité.

Dès que vous sentez surgir le moindre sentiment coupable, vous récitez les 4 mots avec conscience… et instantanément vous vous sentirez en paix avec vous-même.

Essayez…

Le Hoponopono n’a qu’un seul objectif c’est à dire, de retrouver la paix en soi.

Au lieu de refouler le sentiment de culpabilité, le Hoponopono permet de se sentir mieux et de ressentir l’harmonie et la paix intérieure.

En pratiquant cette méthode, il est possible d’effacer définitivement de notre mémoire la culpabilité.

Pensez-y !

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Bonne semaine

Le conditionnement et Hoponopono


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En tant qu’adulte, nous sommes profondément imprégnés de vécu, donc prisonnier de « schémas de comportement » hérités du passé.

Étrangement, l’instinct qui nous pousse à recréer des situations douloureuses est une invitation à revisiter ces souffrances consciemment, afin de nous en libérer.
DÉSOLÉ,  PARDON,  MERCI, JE T’AIME

En pratiquant cette méthode, il est possible d’effacer définitivement de notre mémoire ces conditionnements.

C’est assez difficile de se sentir libre de penser quand, depuis notre naissance nous avons été dressés par nos conditionnements.

Pensez-y, nous avons été conditionnés pendant des années, par nos nationalités, nos classes sociales, nos traditions, nos religions, notre langue ; par notre éducation, par des pressions économiques, des modes d’alimentation vegan, végé ou autre, par nos famille, nos amis, par nos expériences vécues…

Bref par toutes les influences auxquelles on peut penser, et cela, de telle sorte que nos réactions à tous les problèmes qui se présentent sont conditionnés.

En général, on nous suggère de « faire le deuil », on nous propose de se raisonner, de se maîtriser et on nous dit de « lâcher prise».

C’est-à-dire de maintenir le conditionnement imposé par les parents et les obligations sociales.

On peut certainement se distraire un moment, s’occuper, regarder ailleurs mais la nécessité de résoudre la raison de nos souffrances, de reconnaître notre vécu passé et notre héritage familial ne nous quittera pas….

Le refus d’accueillir ou de prendre conscience, de nous positionner face aux situations douloureuses nous mène à leur répétition.

Les consignes du genre : Faites le deuil ! Lâchez prise et ça ira mieux semblent être porteuses d’une certaine logique.

Ces consignes proposent de valider le conditionnement et de gérer le refoulé.

On peut évidemment remettre en cause jusqu'au "fondement de tout ce qu'on nous a appris/dit ou enseigné.

Ou nous pouvons Osez l’Ho’oponopono!

Ayez confiance en la méthode, nous ne pouvons porter seul le déni de nos lignées et les résistances collectives.

Notre responsabilité est individuelle, le déclic, c'est le jour où l'on lâche ses certitudes et où l'on se dit "et pourquoi pas ?"...

Pourquoi est-ce que je ne m'ouvrirais pas à des façons de voir, de faire...qui jusque-là me paraissaient "folles" ou "incroyables"...

Pourquoi ne pas utiliser la méthode Ho’Oponopono pour nettoyer en moi tous ces conditionnements issus de mon éducation.

Pensez-y !

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Bonne semaine

DÉSOLÉ, PARDON, MERCI, JE T’AIME



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Quand est ce qu’on se sert de la méthode Ho’Oponopono?

Tous les jours, dès que nous vivons une situation qui nous dérange…

Chaque fois que nous sommes agités, que nous ne sommes pas en paix.

On dit que tout ce qui arrive dans notre champ de vision ou à nos sens relève de notre responsabilité.

Si ce n’était pas le cas, nous ne nous sentirions pas concerné…

Par exemple, si nous écoutons les infos du soir, et qu’une info en particulier nous mets en colère, GENRE un désastre écologique, c’est que la mémoire de catastrophe écologique est dans l’inconscient collectif.

Nous pouvons donc la nettoyer.

Il est évident que cela ne suffira pas à enrayer le problème, mais nous permettra de voir le problème sous un autre angle et surtout nous libérera de toute cette colère en nous qui de toute façon ne résoudra pas le problème.

Prenons un autre exemple de nettoyage avec la méthode Ho’oponopono.

Quelqu’un nous envoie un email assez violent :

Ce mail nous mets en colère

Nous avons bien sûr le choix de répondre sur le même ton…

Nous pouvons appeler votre thérapeute pour savoir pourquoi NOUS ce genre d’émail nous mets si en colère…

Nous pouvons aussi aller méditer pour se calmer…

Nous pouvons même taper dans un oreiller si cela nous chante…

Ou nous pouvons faire Ho’oponopono.

Cette colère devant ce mail, n’est qu’une mémoire manifestée.

Il n’est pas nécessaire de comprendre la cause.

Nous devons nettoyer immédiatement.

Notre mental ne va pas aimer ça, mais nous oui  :)

Comment ?

Prendre à 4 bonnes respirations… conscientes, lentes et profondes.

Fermez les yeux et pensez à la situation, l’accueillir en vous, sans jugement, sans critique, sans chercher la cause ni d’émettre de jugement.

Comprendre que la situation n’est qu’une expérience de plus…

Il s’agit de s’adresser à notre être supérieur, le superconscient, cette partie divine en nous, pour lui remettre le problème et demander au travers des 4 grandes phrases, à ce que les énergies bloquées en nous soient libérées.

Allez-y….

Prendre une bonne respiration…

Un temps d’arrêt, nous permets de rester attentif à ce qui se passe en nous. Nous permets d’accueillir les émotions qui se pointent…

Nous ne devons pas chercher à fuir ce qui remontera.

Puis laisser aller, avec confiance que nous venons de nettoyer cette mémoire en nous qui réveillaient cette colère.

Certaines situations nécessiteront plusieurs nettoyages.

Et à chaque fois, il faudra lâcher-prise et ne pas avoir d’attente quant au résultat.

Quand on y pense, ressentir de la colère ou tout autre émotions dérangeantes méritent que l’on s’y attarde un peu pour réaliser que ces sautes d’humeurs sont en effet liés à quelque chose EN NOUS qui méritent notre attention.

C’est pourquoi notre conjoint ou collègue ne réagit pas de la même manière que nous à ce genre de situation…

Ça nous appartient !

C’est peut-être quelque chose qui nous bloque, un conflit avec un type particulier de personne, ou l’autorité, nos relations amicales ou sentimentales, nos difficultés financières…

Enfin, pratiquer Ho’Oponopono c’est se débarrasser d’un conditionnement, d’une mémoire qui nous fait rester sur place au lieu d’avancer.

Pensez-y !


Force intérieure et Hoponopono


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Il y a plusieurs personnes qui m’ont manifesté de l’intérêt pour que je parle de Ho’Oponopono, afin de mieux comprendre comment nettoyer les pensées nuisibles qui se présentent.

C'est donc avec une volonté partagée de comprendre ce que Ho’Oponopono pouvait faire pour nous que j’ai décidé de faire ce nouveau projet à la radio en espérant pouvoir cheminer en même temps que vous...

Ces capsules ne sont pas de l'enseignement mais une occasion pour moi d'intégrer Ho'Oponopono dans ma vie au quotidien et de partager avec vous cette passion.

Je l’ai dit déjà, le seul pré-requis pour pratiquer Ho’Oponopono est une attitude d'ouverture.

ON a souvent des expériences de vie  qui nous semblent être des doublons.

On se demande pourquoi on recommence toujours les mêmes «erreurs».

On dirait que nous prenons toujours la même route, que l’on tourne en rond…

Mais, nous sommes quand même surpris d’être revenu au point de départ.

Pourquoi?

Parce qu’on évite de se poser des questions vis à vis des élans qui nous ont motivés à faire certains choix en premier lieu.

On préfère la diversion pour éviter de se regarder en vrai...

Ohhh peut être par manque de temps... :-)

Ou encore, on cherche des réponses à l’extérieur de nous pour comprendre pourquoi NOUS sommes « victime » de ce genre de situation . . .

En fait nous sommes entièrement responsables de tout ce que nous avons attiré dans notre vie.

Pas coupables…mais responsables!

En effet, sans s’en rendre compte, on a fait des choix qui nous ont amené vers là où on est…pensez-y.

Devant chaque situation dérangeante qui se présente, nous devons d’abord prendre conscience de l’état dans lequel nous sommes à ce moment précis.

Un bon exercice pour essayer de comprendre est de s’arrêter puis de réfléchir à ce qui vient de se passer et à tout ce qui nous passe par la tête.

Au début, le conscient prendra beaucoup de place, il réfléchira, il analysera, il essaiera aussi de se justifier ;

Puis petit à petit, l’esprit subconscient, viendra nous rappeler nos peurs, nos croyances, etc.

C’est là que se trouvent les mémoires à identifier et à chasser

Ça prend un temps d’arrêt pour se calmer, pour se ramener au moment présent, pour se libérer des mémoires du passé et de l’angoisse du futur.

En respirant profondément et consciemment,  on laisse aller, on se remplit de paix, on se libère du mental.

Quand on se calme, on ne cherche plus de réponses, on cherche tout simplement à entretenir ce précieux  contact qui est  notre FORCE INTÉRIEURE, celle qui nous fait avancer sans peur, sans filet, avec la certitude d’être sur la bonne voie.

Du coup, on passe à une fréquence plus élevée, celle qui nous guide à chaque instant.

CA peut parfois être pénible d’avoir toujours à se ramener à cet état d’esprit !

Pour être constamment en contact avec notre FORCE INTÉRIEURE, il faut être bien "groundé"

La force intérieure, c’est l’énergie de vie divine, le champ quantique, notre intuition qui s’exprime.
Cette force intérieure est à notre service et nous permets d’agir, de penser, de ressentir des émotions
Nous devons stopper rapidement les ruminations mentales qui ne mènent de toute façon pas à des solutions.

Mais comment ?

En se concentrant sur notre respiration, ensuite être à l’écoute de nos émotions.

Ce sont les émotions bloquées qui provoquent du stress et augmentent nos ruminations mentales tant et aussi longtemps qu’elles ne seront pas libérées ou nettoyées

Pensez-y! 

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Bonne semaine

Croire ou ne pas croire avec Hoponopono

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Je crois sincèrement au processus Ho’Oponopono mais j’avoue que c’est parfois difficile de s’y retrouver…

D'abord je pense que la technique proposée demande plus d’engagement que de réciter un petit mantra de 4 mots …

DÉSOLÉ, PARDON, MERCI,  JE T'AIME

Si vous réciter des affirmations qui ne sont pas alignées à votre ressenti, vous n’irez pas loin…

Alors comment savoir si une affirmation ou mantra est positive pour soi ?

Personnellement, si je dis travailleur autonome, je sens que mon corps est content, mes yeux pétillent… Si je dis travail à la chaîne, ça me donne des frissons, et pas des bons…

C’est la même chose pour toutes questions existentielles.

Demandez à votre corps de vous transmettre une réaction vis-à-vis toute question

Ho oponopono c’est faire un travail sur soi!

Quand on travaille sur soi, on travaille aussi pour l’univers POUR LES AUTRES. , et ça a beaucoup plus d’effet que dire tu devrais faire ceci, cela

Le Ho’Oponopono comme on en parle aujourd’hui, ne me semble pas fidèle à la tradition d’origine, c’est devenu un plat populaire ou chacun y ajoute son épice préféré!

Et peut être que moi aussi je fais la même chose...

Le seul pré-requis pour pratiquer Ho’oponopono est une attitude d'ouverture pour mieux comprendre les attitudes, les pensées ou les croyances que chacun de nous a à transformer au travers les expériences que l'on s'attire

J’ai utilisé plusieurs fois cette technique.

Ça m’a aidée à prendre du recul et me sentir dégagé d’un fardeau sans trop savoir comment ça fonctionnait. J’ai juste décidé de l’essayer et d’y croire!

Vous pouvez traiter TOUT ce que vous voulez, tout ce qui constitue une problème pour vous.

Vous pouvez aborder chaque blocage, chaque difficulté pour en nettoyer en vous son origine.

Pour tout événement vecteur de poison émotionnel, d’émotions désagréables, toutes les situations qui génèrent du stress.

En cas de conflit, de dispute, de rupture, de deuil…

Pour soulager les anxiétés, angoisses, addictions et dépendances...

Pour les pensées négatives, les idées noires, les difficultés financières ou au travail, pour traiter et éliminer vos croyances limitantes.

Personnellement je crois que nous vivons dans une société qui se veut laïque mais qui est très marquée par la religion , dans l’inconscient collectif, nous sommes rongé par la culpabilité, la culture du manque.

Il s’agit des mémoires négatives ou « limitantes », qui nous empêchent d’évoluer. 

On peut utiliser Ho’oponopono pour nettoyer une croyance ou mémoire « qui nous limite.  

Par exemple « l’argent ne fait pas le bonheur » est une mémoire, enfoui dans notre subconscient que l’on se le dise ou non, qui n’a pas entendu régulièrement cette petite phrase.. ?

C’est pourtant plutôt bien d’avoir un peu d’argent pour subvenir à ses besoins au quotidien et s’offrir des petits plaisirs.

Seulement, avec la croyance inconsciente que l’argent ne fait pas le bonheur, nous limitons (inconsciemment) les rentrées d’argent.

Pensez-y!

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Bonne semaine

Lorsque tu choisis, tu changes l’avenir-Hoponopono

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Lorsque tu choisis, tu changes l’avenir

C’est une citation de Deepak Chopra qui vous me direz n’a rien à voir avec le Ho’Oponopono!

C’est Vrai!

Par contre je ne peux m’empêcher de commencer cette nouvelle série de capsule audio sans parler de Chopra parce que ses livres ont eu un profond impact sur moi.

Médecin de formation, son approche scientifique et ses  enseignements combinent la Sagesse Védique et la science d'aujourd’hui tout ça mis au service de la spiritualité.

J’ai donc compris que nous faisons tous partie d’un grand tout!

Basée sur l’Amour universel et la conviction que nous sommes tous unis en un seul être universel, Ho’oponopono est donc parfaitement accessible à tous, quel que soit vos origines, votre religion,  ou vos principes de vie.

Beaucoup d’entre nous souhaitons du changement au niveau local, national voire même international.
Ce que l’on voit comme réalité sociale ou ce l’on vit personnellement n’est que le reflet de ce qui se passe en nous.

Nos choix personnels ou sociaux ne servent pas qu’à espérer des transformations ou une évolution intérieure, elles sont  un processus d’apprentissages à plusieurs niveaux.

Qu’ils soient plaisants ou déplaisants, les résultats de nos choix se manifesteront précisément, pile poil,  juste au bon moment,  à savoir …quand ce sera le temps pour nous d’en retirer une leçon.

Il y a quelques semaines c’était jour d’élection au Québec

C’était  l’heure des choix.

Quand on prend quelques minutes pour mesurer notre ressenti vis-à-vis d’un choix à faire que ce soit en politique ou autre, on pense, dans le cas d’une élection, aux candidats en liste, puis du choix que nous avons décidé de faire, nos pensées se dirigent vers un parti ou un candidat et ce que l’on ressens nous parait bien à nous

mais

Ce qui se manifeste en nous est le résultat de pensées et de croyances que nous avons nourries collectivement… sans s’en rendre compte   

ET Ce qui vous concerne est en fait ce qui vous dérange le plus.

Devant le choix du candidat ou sur le programme offert par le parti, dans l’esprit du Ho’oponopono, on réagit très fort à ce qui doit être transformé en nous.

Ce sont des vibrations que nous avons captées, des mémoires qui refont surface pour être nettoyées, quelles que soit leur source.

IL n’y a pas d’erreur dans la vie.

Les événements qui nous arrivent sont d’abord le résultat de nos choix conscients et inconscients.
Peu importe qu’ils soient désagréables, ils sont nécessaires pour apprendre ce que nous devons apprendre

Chaque étape importante de notre vie nous a mené à faire des choix.

Notre vie dépend de nos choix et de notre mode de pensée. Tant que nous serons persuadé que nous sommes une victime de la vie, nous serons une victime.

Nous agirons comme tel et serons confronté à des situations qui justifieront notre choix.

IL faut plutôt vite comprendre que nous sommes une victime … mais de notre comportement »

Tant que nous disons « je suis la victime de mon patron, des élus, de mon collègue, de mes parents,» nous donnons du pouvoir à l’autre. 

C’est à nous de faire quelque chose, et cette métamorphose doit commencer à l’intérieur de nous en modifiant notre mode de pensée

Les mémoires que vous avez accumulées, qu’elles soient karmiques, ancestrales ou autres  ont teinté  à coup sûr votre attitude  face à la vie.

Par le biais du rituel du Ho’oponopono, nous pouvons se dégager de ces limites et participer consciemment à notre évolution.

Pensez-y!

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Bonne semaine

Mantra de purification Ho’Oponopono


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Les quatre phrases du mantra de purification Ho’Oponopono sont bien connues :



"Désolé, pardon, je t’aime, merci"

Pourquoi ces phrases?


Qu’est-ce qu’un mantra d’abord ?


Un mantra est une incantation. Ce peut être une syllabe, un mot, plusieurs mots ou une phrase.


Chaque mantra a une signification et une puissance intérieure très particulière.


Ils sont utilisés depuis la nuit des temps et peut avoir plusieurs buts.


Ça permet par exemple de se séparer de ses pensées pour atteindre un état de conscience pure,réciter un mantra spécifique peut être utilisé pour améliorer un aspect de notre vie en particulier


C’est le cas de l’Ho’Oponopono.


Tout mantra, invocation, rituel, le travail religieux, le travail mystique, sont une accélération de la descente de la spiritualité dans l’homme, ou de l’élévation de l’homme.


Les prières comme "Je vous salue Marie" ou le "Notre Père" sont également des puissants mantras…quand ils sont récités avec conscience…


« A tous les jours à tout point de vue je vais de mieux en mieux » en est un autre. 


« Je suis fière de qui je suis » en est un tout simple…


IL y a aussi des mantras sanskrits que l’on répète parfois sans même en connaitre la signification par exemple :


« Om Sat Chit Ananda » qui veut dire :

Je salue La Vérité, la Conscience, la Béatitude comme Suprême Créateur


Ce qui est important dans la pratique des mantras c’est la régularité !

Car le principe même du mantra, c’est la répétition qui calme le mental.


Le mantra est un instrument fait pour préserver le mental de l’agitation permanente que l’on subît durant toute notre vie


Ho’Oponopono ne devrait pas vraiment être récité comme un mantra mais plutôt utiliser lorsqu’une situation, une personne ou quoi que ce soit qui vous fait réagir, vous agace, vous fait peur, vous pose problème ou ne fonctionne pas se présente.


En utilisant simplement ces 4 phrases, vous demandez à votre superconscient/votre Soi supérieur/de nettoyer les mémoires accumulées dans votre subconscient devant une situation donné


Diriger votre pensée sur des vertus d’amour inconditionnel, de compassion, de pardon et de gratitude en répétant les 4 MOTS:



Désolé, pardon, merci, je t’aime

Ces paroles s’adressent à la divinité qui vous habite, sachant que l’amour transmute les sources du problème en vous. Puis, vous vous offrez de la compassion tout en demandant le pardon pour ce qui est en vous et se manifeste comme un problème à l’extérieur. Et enfin, avec gratitude, vous remerciez La Source, sachant que le processus est enclenché et que les résultats sont en voie de se manifester.


Un exemple ; vous aimeriez vous débarrasser d’un comportement qui vous agace chez vous par exemple quand des situations vous mettes en colère et que ce genre de situation vous arrive répétitivement, Vous n’aimez pas vous mettre en colère, mais en même temps vous ne savez pas trop pourquoi vous réagissez ainsi.


Avec Ho'Oponopono il ne faut pas trop chercher à comprendre de où proviennent vos réactions, il suffit de reconnaître le malaise et de réciter consciencieusement les 4 phrases


« Désolé » : c’est comme dire à son soi supérieur que nous reconnaissons avoir cette mémoire de comportement en nous et qui nous met en colère, on reconnaît la situation qui nous arrive. On l’observe et on l’accepte.


« Pardon » : On pardonne à soi, aux autres ou même à l’Univers de nous faire vivre cette situation


Le pardon est sans doute l’acte le plus libérateur qui soit.


Le pardon ici nous permet de laisser derrière soi ce qui nous a causé des problèmes


« Merci » : avec gratitude, on remercie cette mémoire ne nous avoir permis de la vivre et de la nettoyer. La gratitude contribue à amorcer un changement positif.


Je t’aime » : Ainsi, on renoue avec l’amour qui est le principe créateur de tout ce qui est. Ce je t’aime s’adresse à la situation, la mémoire, le divin en vous ainsi qu’au soi supérieur


L’important est de répéter ces phrases intérieurement chaque jour, chaque fois que l’on expérimente une situation dérangeante pour soi ou chez autrui. Cela crée une détente, un espace de tranquillité en soi et chez l’autre, sans qu’il le sache.


Pensez-y!


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Bonne semaine





HUNA ou Ho'Oponopono


Bienvenue à ma toute nouvelle série de capsule audio cette fois portant sur le Ho’Oponopono !

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«Désolé, pardon, merci, je t’aime »

Ces 4 petits mots font le tour de la planète ces temps-ci et je ne suis pas certaine que l’on sache vraiment pourquoi on répète ce mantra mais il semble de plus en plus populaire… ou pas….

Pour certains, Ho'Oponopono est utilisé pour résoudre les conflits qui surgissent au quotidien

Pour d’autres, le mantra et certains mots dérangent :

Divinité, puissance supérieure, vibration, dieu, énergie. 

Je peux comprendre que ces concepts puissent déranger et faire fuir bon nombre d’entre nous.

Je ne sais pas si c’est important de le mentionner mais le Ho’Oponopono est un dérivé du HUNA, savoir millénaire Hawaïen.

J’ai été formé au HUNA par Sylvie Doré, elle-même formée par le centre de recherche du même nom à San Francisco.

Je dois avouer… du moins, je ne me rappelle pas qu’elle m’ait parlé du Docteur qui guérissait des patients à distance en répétant ce mantra de 4 phrases…

Et tant mieux...

Parce que je ne sais pas si je n’aurais été prise avec un fou rire suivi par un sérieux scepticisme.

Non, elle m’a plutôt parlé d’énergie, des différents plans de conscience et ça, ça m’allait assez bien.

J’avais fait des études en psychologie et je pouvais facilement assimiler les « Ça, Moi et Surmoi » ou « conscient, inconscient, préconscient » de Freud au plans de conscience du Huna.

En effet, Le Huna repose sur une connaissance approfondie des plans de conscience qui interagissent constamment dans le quotidien de chaque être humain :

Le subconscient, gardien des mémoires et centre des émotions dont le niveau d’évolution est semblable à celui d’un jeune enfant.

C’est intéressant de le comparer à un enfant, cela nous fait mieux comprendre pourquoi il faut toujours lui répéter des choses…

Le conscient, décideur réfléchi et analytique, responsable d’apaiser et de libérer le subconscient de ses schémas passé date, de ses résistances et de ses limites, tout comme le ferait un parent pour son enfant…

En fait le conscient est responsable de ses choix, il a le libre arbitre , il peut donc programmer ou conditionner le subconscient à partir de stratégie consciente… pensez-y c’est intéressant ;)

Le superconscient, notre Soi supérieur

C’est le concept d’ange gardien. Comparable à des parents spirituels aimants et dignes de confiance absolue.

Enfin, notre corps physique est le véhicule et l’instrument des trois niveaux de conscience.

Jusque-là ça va, cette théorie triangulaire n’est pas inconnu.

Ce qu’il faut retenir c’est qu’il est possible d’exploiter les possibilités illimitées de ceux-ci.

En revenant aux quatre phrases du mantra de purification « désolé, pardon, je t’aime, merci » disons que c’est une technique pour nettoyer le subconscient.

Ho’Oponopono étant avant tout un rituel de pardon et de réconciliation.

Nettoyer signifie demander au superconscient de prendre nos mémoires (quelles quelles soient) et de les transmuer en lumière pure, en neutralisant leurs effets qui créent les problèmes dans notre vie.

L’origine de nos problèmes ce n’est pas nous !! Mais nos mémoires ! C’est-à-dire l’interprétation que nous avons faite de nos expériences.

Nous vivons tous des scénarios répétitifs qui se présentent à nous comme des expériences personnelles.

Quand celles-ci sont agréables, pas de souci, c’est quand elles nous dérangent qu’il faut y voir...

Quand on sait d’où proviennent les situations désagréables et répétitives, on peut choisir de les déprogrammer!

Toutefois, quand on ne connait pas les causes de ce que l’on attire, la pratique du Ho’Oponopono permet de nettoyer en nous les pensées qui sont une source de déséquilibre intérieur et extérieur.

Le rituel du Ho’Oponopono, propose une réparation par l’amour, le pardon, la compassion et la gratitude, c’est rituel où l’esprit conscient s’adresse à son Soi supérieur sur le champ.

La semaine prochaine, le mantra en détail


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Bonne semaine

J'ai perdu ma meilleure amie...

"Écrire, c'est dessiner une porte sur un mur infranchissable, et puis l'ouvrir"
Christian Bobin



Il y a longtemps que je n’ai pas écrit sur mon blog et aujourd’hui me voilà à partager mes mots pleins d’émotions et ma profonde peine.

Je suis inconsolable... Je me sens tellement coupable… tellement mal en dedans…. L
Je ne pensais jamais avoir un chien. J’ai toujours pensé que c’était beaucoup trop de boulot et qu’un chien, ben c’était ou plutôt, que ce n’était qu’un animal qui me demanderait la porte pour sortir aux 10 minutes, qui m’obligerait à le promener et à jouer. En plus que je devrai ramasser ses besoins, nettoyer les planchers plein de poils etc… Bref, je n’ai jamais vraiment voulu d’un chien ou de tout autre animal.
En 2004, ma nièce est venu chez moi avec son chien tout noir et d’un calme désarmant. Il n’aboyait pas ou presque pas… Je vivais à Ste Anne des Lacs avec comme seule clôture, la forêt tout autour!
Nous promenions donc le chien dans cette forêt  quand je proposai de le laisser libre…. Avec un peu d’hésitation, Myriam accepta, au grand plaisir de l’animal… La liberté!! Il était si beau à voir. Libre et  heureux en pleine connexion avec l’environnement…..
Le lendemain nous sommes allées au SPCA de Ste Agathe. Nous espérions un beau chien noir qui ne jappe pas J
Une belle Labrador noire s’est approché de Laurence tout doucement. Laurence se retourna vers moi pour me dire : « on a trouvé ».  Vanda avait 3 mois. Elle avait été abandonnée ;(
Pour le retour à la maison, Laurence s’est assis sur la banquette arrière avec Vanda pour qu’elle soit rassurée… Elles étaient si mignonnes toutes les deux dans le rétroviseur.
Ainsi commença une nouvelle vie pour nous trois.  Son nom sur le certificat était Dalhousie, née le 10 janvier 2004. Nous l’avons appelée Vanda, comme l’orchidée ;)
Nous lui avons donné la plus belle vie qu’un chien puisse avoir. (je sais, je sais tous les maitres diront la même chose :-)  
Vanda n’a jamais été seule. Au début Laurence travaillait de la maison, et s’assurait que Vanda sorte plusieurs fois par jour en forêt et elles allaient au lac dès que la température le permettait. Vanda a côtoyé très jeune l’énergie des arbres, des plantes et des fleurs en suivant Laurence partout ,dehors, ou dedans, elle qui travaillait avec le monde végétal si vibrant.
Puis, ce fut à mon tour de travailler de la maison et même scénario. Je découvrais en même temps que Vanda toute l’énergie que dégagent les arbres.
Elle avait près de neuf mois quand elle jappa pour la première fois. Comme nous vivions en pleine forêt, il n’y avait personne autour. Un jour où je réceptionnais un colis à la porte, quelle ne fut pas ma surprise d’entendre Vanda aboyer….  Je me suis dit, eh ben, c’est bien un chien ... ;)
Nos amies avaient adoptées Vanda et s’occupaient d’elle aussi bien que nous quand nous décidions d’aller en vacances. 
Si nous devions s’éloigner de la maison pour plus de 3 heures, nous faisions appel à une gardienne de chien qui vivait près de chez nous… Marité a été la dog-sitter de Vanda pendant plusieurs années. Nous l’amenions aussi chez elle les jours où nous devions travailler à l’extérieur de la maison.  C'était comme aller à la garderie avec son enfant…  Marité, tout comme nous, aimait les longues balades, été comme hiver, au plus grand plaisir de notre belle Labrador.
Au fil des années, nous avons pris des vacances à 3. Vanda avait sa banquette arrière juste pour elle et était d’un calme parfait pour les longs voyages en voiture. Nous avons, pendant plusieurs années, réservé des gites de vacances, uniquement là où on acceptait les chiens.
Vanda a été aux lacs été comme hiver. Nous suivant en raquette l’hiver ou directement dans le lac l’été. Elle a connu la mer et les vagues qu’elle acceptait sans broncher en autant qu’elle puisse voir la balle qu’elle poursuivait.
Elle a pris l’avion, le bateau et fait de nombreuses balades en voitures. La vie de tous les jours avec Vanda était facile. Elle aimait marcher et jouer à la balle. Au hockey comme au foot ;)
J’ai passé les 10 dernières années à parler avec Vanda. Oui oui parler… en tout cas à échanger avec Vanda J

Jamais, je n’ai senti une connexion comme celle- là avec un animal… presque jamais avec les humains ( comme celle-là du moins, si puissante) mais encore moins avec un animal. Une connexion in-des-crip-ti-ble, est le seul mot que je puisse utiliser.  
Ces 3 dernières années passées en France, je me suis amusée à échanger de plus en plus avec Vanda. Je m’efforçais de ne pas lui adresser la parole à haute voix, seulement en moi, je lui indiquais ce que je voulais lui faire comprendre. Et ça marchait. La télépathie pure et simple.
Puis au fil du temps, je lui parlais en attendant sa réponse qui venait par ma propre voix… hehe… je vous entends d’ici dire … ça y est, elle a pété un boulon… haha… mais non… quiconque a une telle connexion avec son animal vous dira comment ça peut être puissant l’échange non-verbal avec son chien. 
Ces 2 dernières années, pour ne pas dire 3, elle a commencé à souffrir d’arthrose. Nous avons hésité longtemps à lui donner des anti-inflammatoires au quotidien, mais sans ceux-ci, elle ne marchait tout simplement pas. La dose a augmenté progressivement pour atteindre le maximum permis. Nous lui avons également acheté les meilleures croquettes adaptées à cette maladie, en plus des huiles essentielles et des potions magiques que Laurence préparait pour sa bouffe et aussi pour améliorer son poil, qui en prenait parfois un petit coup à cause de la médication…
Depuis quelques mois, elle ralentit encore un petit peu plus. Ses pattes arrières ne veulent plus supporter tout ce qu’elle ne peut plus faire avec celles de devant… Quelle tristesse de la voir avancer L.
Mais la question qui tue est : Souffre-t-elle?  Où tracer la ligne entre l’acceptable et l’inacceptable ??? Est-ce trop tôt pour l’envoyer dans l’absolue? Avons-nous le droit d’une telle décision?  Avons-nous le droit de la garder avec nous ? Je meurs un petit peu chaque jour à force de me tourmenter avec ces questions...
Chaque matin elle vient chanter au bord du lit pour nous dire bonjour. C’est assez surprenant d’entendre et de voir un chien chanter comme cela. Le reste de la journée, ben elle dort, mange et fais ses besoins. Puis on recommence, elle chante un p’tit coup, mange, sort, dort, fait ses besoins etc etc… Même si chaque pas à l'air d'un effort incroyable, on dirait qu'elle sourit toujours :-).  
Où tracer cette putain de ligne?
Nous sommes toujours avec elle et tentons de lui offrir une qualité de vie exceptionnelle à la hauteur de ce qu’elle vaut pour nous.
J’ai souvent dis que ma relation avec Vanda avait été comme celle d’avec un maitre. Elle vivait tellement dans son moment présent que juste de la regarder me rappelait à quel point il était important de ne pas sombrer dans d’inutiles pensées néfastes ou des to do list du genre il faudrait ben que
Un maitre, oui! C’est ce que Vanda a été pour moi. J’ai si souvent oublié qu’elle était un chien…
J’ai tellement appris à ses côtés. Ces jours-ci, je lui demande en silence, je lui crie dessus, je pleure à côté d’elle en l’implorant de me faire un signe… de me dire à sa manière ce qu’il faut faire.
Elle titube parfois en marchant, elle chaloupe du train arrière mais continue quand même de sourire.
Je suis bouleversée ce weekend… Vivre avec cette dualité comme question incessante, ben c’est horrible. Quand ma mère a été dans le coma, j’ai vécu dans une bulle, comme dans une sorte d’état second. On croise les gens, on a aucune envie de sourire, ni de parler. On entend rien, on ne voit rien… on ne veut rien entendre, on ne veut rien partager … et de toute façon, personne ne se doute de la peine que l’on éprouve… Pour moi ces derniers jours, ben c’est pareil!
Nous avons décidé de lui offrir le plus beau weekend, son dernier….mais  vivre ces derniers jours en sachant que c’est la fin est ab-so-lu-ment horrible.
Eh oui… tout s’est écroulé si vite depuis que nous sommes en France. Nous avons fait en sorte que Vanda puisse vivre le plus longtemps possible sans trop souffrir mais le traitement quotidien qu’elle prend depuis presque 3 ans ne suffit plus.
Nos longues marches quotidiennes me manquent énormément. Je me suis souvent demandé si elles lui manquaient aussi. Au fil des ans, j’ai appris à suivre sa cadence de plus en plus lente et de regarder les fleurs poussées pendant qu’elle sentait tout ce qu’il y avait à renifler. Je paye d’ailleurs de ce manque d’activité physique mais je n’ai jamais été capable de laisser ma chienne derrière. J’avais décidé de vivre ces dernières années avec elle, pour elle et je l’ai fait jusqu’au bout. 24heures sur 24 ces derniers 5 ans.
Combien de fois, après ma méditation du jour, me suis levée, d’un bond, pour aller retrouver ma belle Vanda bien endormie dans l'autre pièce. Je me collais à son dos et lui répétais télépathiquement comment je l’aimais, qu’elle pouvait dormir tant qu’elle voudrait puis je lui faisais des massages aux pattes pour alléguer son mal.
Elle avait l’air d’un ours. Un ours du Canada que nous nous plaisions à dire aux gens qui la croisait, surtout en France. Cela les faisaient bien rigoler, eux, plus habitués à des petites races de chiens.

Elle était si belle à la sortie d’une baignade à la mer, se roulant de tout son long dans le sable, pour se sécher j’imagine.
Cette publication est un hommage à ma chienne Vanda. Quand j’aurai terminé d’écrire ces mots qui soit dit en passant sont au jour le jour depuis Vendredi….eh ben elle ne sera plus là. 
Comment imaginer une fin à un si beau 10 ans et 5 mois de vie de chien. Je ne sais pas. Nous avons partagé de si bons moments.
Je n’arrive pas à la regarder en face ce weekend sans me sentir coupable de ma/notre décision. Je pleure en la caressant. Je lui répète que je ne l’abandonne pas, que ce sera un geste d’amour… Il n’y a rien pour me consoler…  je ne savais pas que ce serait si difficile de dire au revoir à ma chienne.
J’essaie de m’occuper mais mes pensées sont entremêlées de beaux souvenirs et de culpabilité.
Vanda n’aime pas me voir pleurer, et je ne cesse de pleurer… J’essaie de lui offrir de beaux moments et mon cœur est si triste … Elle le sent. Je lui demande « Et si je me trompe? », « Et si il est trop tôt? »
Elle a mis la patte sur mon bras comme pour me calmer… Jusqu’à la fin elle aura été là pour moi, c’est incroyable.
Je sais bien que ce n’est pas tout le monde qui aime les animaux au point d’en faire tout un plat comme j’en fais un. Mais voilà, j’écris pour moi, pour me libérer, me déculpabilisé, je ne sais pas L
Son départ est pour moi un vrai déchirement. Vanda laisse un grand vide dans la maison, dans le jardin, dans mes/nos habitudes. Son absence partout où je regarde est indescriptible.
Je me console à l’idée qu’elle ne souffre plus, qu’elle a tout fait pour rester avec nous sans jamais trop faire de bruit.
Merci Vanda d’avoir décidé de faire partie de ma/notre vie. Je t’aime et JAMAIS je ne t’oublierai!
Merci à vous de m’avoir lu. Merci de comprendre et respecter mon silence pour un p’tit moment, un long moment… je ne sais pas… L
Di de Die