Le pouvoir est en nous...

Voici la toute première citation qui m’a influencé, il y a de ça plus de 40 ans!

 «Faites-vous une image de votre réussite et imprimez-la de façon indélébile dans votre esprit. Que cette image ne pâlisse jamais, qu’elle nourrisse constamment votre esprit, qui cherchera à son tour à la développer.»Dr Norman Vincent Peale auteur de « The power of positive thinking »

 J’ai été émerveillé par ces mots. La pensée à elle seule pouvait-elle réellement créer? Jamais par la suite, je n’ai cessé de vouloir comprendre la puissance de la pensée.

 Après plusieurs années de recherches personnelles, de lecture de toute sorte, de stages, de formations variés sur le sujet de la pensée, j’en suis venu à comprendre que tous sans exception disent la même chose.  Le pouvoir est en nous !!

La pensée est maitresse. Il ne lui manque que deux p’tits élèves : soit la volonté et l’imagination.

1) La volonté permet de «passer à l’action » elle est le tremplin qui permet de surpasser la peur, la résistance au changement.

2) L’imagination est créatrice. Elle permet d’insérer dans notre subconscient, des nouvelles idées, des images mentales.

Pensez-y!

Un régime...

À un mois de Noël, voici une petite suggestion de régime... ♥♥♥  Essayez le pour voir J

Condamné à vivre...

"En te levant le matin, souviens-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux" - Marc Aurèle.

J’ai eu l’occasion de discuter avec quelqu’un d’ex-tra-or-di-naire cette semaine. Cette personne est condamnée à mourir dans les prochains mois. OUF!!!

J’ai été soufflé de sa joie de vivre, de son réalisme, de ses opinions, de sa franchise quant aux soins médicaux traditionnels, de son ouverture face aux traitements alternatifs, de sa manière de vivre le moment présent, etc. 

Nous sommes tous condamnés à mourir, c’est une certitude n’est-ce pas? Nous ne connaissons tout simplement pas le « quand… ».

Pour le moment donc, nous sommes condamnés à vivre

Rappelons-nous combien précieux est ce privilège de vivre, de respirer et d’être heureux J

Pensez-y!

La colère...

Si vous êtes en colère, comptez jusqu’à 10 avant de parler.Si vous êtes très en colère, comptez jusqu’à 100. – Thomas Jefferson

Bon, ok j’admets que j’ai parfois le besoin de compter jusqu’à 1000000000 …
Je vous reviens donc demain après avoir arrêté de compter J

Je rigole, je ne suis pas en colère mais j’ai lu cette citation et l’ai trouvé intéressante.
C’est qu’il faut du temps à l’esprit pour se défaire d’une émotion aussi forte que de la colère explique Daniel Goleman, dans son livre « Surmonter les émotions destructrices ».
C’est surement pourquoi on nous incite à se tourner la langue sept fois avant de parler dans tels moments. En fait, il faudrait apprendre à se taire, à se détourner de la situation qui nous a mis dans de tels états. Sinon, le risque est de dire des choses qui dépassent notre pensée...

Apprendre à respirer nous dis-t-on pourra certainement nous détendre et pourquoi pas compter jusqu’à… ce que vous soyez calmé J
Pensez-y

Capitaine de mon âme...

Récemment, j’ai eu l’occasion de visionner le film «Invictus», avec Morgan Freeman et Matt Damon qui relate un passage de la vie de Nelson Mandela.

Je recopie ici le poème dont s’inspirait Nelson Mandela quand il a été emprisonné injustement pendant 27 ans !!!

Écouter bien cet extrait et prenez conscience de la puissance du choix que nous avons tous, de vivre sa vie en étant guider par la p’tite voix de son âme.

«Dans les ténèbres qui m’enserrent,
Noires comme un puits où l’on se noie,
Je rends grâce aux dieux quels qu’ils soient,
Pour mon âme invincible et fière,
Dans de cruelles circonstances,
Je n’ai ni gémi ni pleuré,
Meurtri par cette existence,
Je suis debout bien que blessé,
En ce lieu de colère et de pleurs,
Se profile l’ombre de la mort,
Et je ne sais ce que me réserve le sort,
Mais je suis et je resterai sans peur,
Aussi étroit soit le chemin,
Nombreux les châtiments infâmes,
Je suis le maître de mon destin,
Je suis le capitaine de mon âme.»

http://www.youtube.com/watch?feature=fvwp&v=__XawMZcSLU&NR=1

Calins gratuits...

Comme cela est inconfortable pour certains (moi inclus)  de serrer quelqu’un dans ses bras pour plus de quelques secondes et pourtant…. étreindre quelqu’un sincèrement, en lui communiquant toute notre affection, peut transformer une vie…

Je n’exagère pas, demandez à quelqu’un qui se sent inutile/invisible comment ce contact attentionné de quelques secondes aura rempli son cœur de joie J

Avec Noël qui approche, ça changerait certainement des bises faites à la sauvette où on offre la joue pour une fraction de seconde….

Bravo à ceux qui ont réalisé ce petit vidéo juste pour faire du bien…à écouter sans modération !!!

Pensez-y !


Le deuil ... et les autres!

Perdre son emploi, vivre une séparation, un projet qui est refusé, la mort d’un être cher, tous, nous auront à un moment ou un autre à faire son deuil… celui dont je fais référence ici est du deuil après la mort.

Ensuite, il y a les « les autres » qui restent, ceux qui en d’autres mots sont en deuil.

Enfin, il y a  « les autres » qui nous côtoie de près ou de loin... et c’est à eux que je ferai référence ici.

Il y a quelques jours, j’ai perdu subitement mon grand frère. Je suis incapable de dire que c’est bien trop jeune pour mourir, parce que je crois qu’il n’y a pas d’âge pour partir.
Il est clair que dans notre société, on ne nous prépare pas à la mort. Bien que nous allions tous mourir un jour, nous ne sommes jamais vraiment préparés à la mort d’un de nos proches. Certaines morts font suite à une longue maladie, d’autres surviennent quand l’âge rend la séparation charnelle plus acceptable. Il y en a d’autres qui meurent suite à un accident ou tout simplement comme ce fut le cas pour mon frère, subitement, naturellement, à l’âge de 63 ans.  

Personnellement, je n’ai pas peur de mourir. J’accepte la mort comme un passage normal de la vie humaine. C’est pour moi l’étape finale, le grand saut.
Ce que je vis difficilement suite à la mort d’un de mes proches, c’est le silence des « autres ».   Je ne sais pas si c’est culturel ou si c’est l’éducation de chacun, mais je ne comprends pas les gens qui ne font aucun effort dans ces circonstances, pour m’offrir leurs condoléances…

Il y a des personnes dans mon tout petit village qui ont perdu leurs compagnes dernièrement et je me suis empressée d’aller leur offrir mes sympathies. Il était impensable pour moi voire inacceptable de faire comme si de rien était….
Dans ma vie, j’ai déjà perdu mes grands-parents, mes parents, un neveu, des oncles, des tantes des amis puis mon frère. À chaque fois, j’ai été frappé par le silence des autres.

Quand ma mère est décédée, j’ai dû exprimer à certains que je n’avais pas la lèpre, que j’avais simplement de la peine et qu’il n’avait pas à avoir peur de moi, qu’ils pouvaient s’approcher de moi sans que je leur fasse du mal…

J’ai aussi reçu des témoignages d’amitié extraordinaires et en grand nombre. J’ai reçu des visites, des lettres, courriels, des appels, et chacun de ces gestes resteront gravés dans mon cœur à jamais!

On dirait que le silence de certain restera également gravé en moi…

Nous vivons à l’ère de la technologie et même les plus timides peuvent se cacher derrière un texto, un sms, un courriel ou encore la boite vocale…    

Je comprends qu’il y en a qui sont timides ou ont peur d’être maladroit, mais cela m’attriste de voir que certains savent où nous trouver quand ils sont dans le besoin, mais qu’ils nous oublient quand on a besoin… 

Je me demande à chaque fois que je vis ces silences, si ces mêmes personnes aimeraient qu’on les évite quand ils perdront un être cher… Évidemment pour moi, c’est impensable d'agir ainsi, mais cela me fait tout d'un coup réfléchir au genre de personne avec qui j’ai envie de continuer mon p’tit bout de chemin.

La vie est courte… et l’important est d’être bien entourée !

Pensez-y !

Vous avez de la valeur...

Voici une petite leçon de vie toute simple mais tellement vrai... Pensez-y!

Un professeur tend un billet de 20$. Il dit :« Qui aimerait avoir ce billet ? »

Les mains se lèvent.

Il chifonne ce billet et demande : « Vous le voulez toujours ? » 

Les mains se lèvent encore.

Il jette le billet froissé par terre, saute dessus à pieds joints et dit : « Vous le voulez toujours ? »

Et encore, les gens lèvent leurs mains.

Il dit : Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon !

Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours, car sa valeur n'a pas changé. Il vaut toujours 20$ n'est-ce pas.

Plusieurs fois dans votre vie, vous serez froissés, rejetés par les gens et les événements.

Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien, mais votre valeur n'aura pas changé aux yeux des personnes qui vous aiment vraiment.♥

Même les jours où nous sommes moins à notre meilleur notre valeur reste la même ♥♥♥

- auteur inconnu

Cette fois...

Avoir la foi n’a rien de religieux, c’est CROIRE au lieu de DOUTER !

Retrouvez la FOI en VOUS!

Cette "fois" sera peut-être la bonne ;)

Pensez-y!